Vous les connaissez sûrement déjà : Les pipelettes and co, Tupperware ou Avon. Le domaine de la vente à domicile recrute sans cesse. Et souvent, ça peut rapporter gros quand on y met le temps et l'énergie qu'il faut. Outre l'attrait financier et la liberté du métier, l'absence de sélection par diplôme et expérience est un vrai plus. Certains vendeurs le sont devenus pour survivre, d'autres pour renouer le lien social. En bref, toutes les raisons sont bonnes pour s'essayer au statut de VDI.
Comprendre le fonctionnement de la vente à domicile
Lors des premières réunions, la marque vous fournit des produits tout en tant vous laissant un délai de réflexion et de rétractation afin que vous puissiez jauger de vous-même si vous êtes fait pour le métier. Ensuite, le principe est simple : fixer un entretien avec plusieurs connaissances et se réunir chez l'une-d'elles. Le vendeur pourra y faire une démonstration des produits, en l'occurence la présentation des collections de VDI lingerie ou de prêt-à-porter, afin de finaliser des ventes et d'organiser d'autres réunions, avec d'autres personnes cette fois, car les réunions doivent dépasser le cadre des amis pour s'assurer un bon fonctionnement et ainsi élargir son "réseau" de ventes.
En réalité, comment ça se déroule ?
Arrondir ses fins de mois en complément d'une activité salariée ou faire carrière : tous les vendeurs à domicile n'ont pas les mêmes motivations... et salaires aussi ! Un vendeur peut espérer gagner de 1 000 à 1 500 euros par mois grâce à la commission donnée par ses ventes en faisant à peu près trois réunions par semaine.